Entre 1994 et 2005, j’ai été sensible à la place de mes enfants dans le paysage. La puissance d’évocation du paysage me permet de passer de la géographie topographique à l’espace géographique intérieur et de trouver des passerelles, des correspondances. Ainsi, l’enfant photographié devient aussi mon propre enfant intérieur mis en abime dans l’espace du paysage.